Les communautés francophones minoritaires du Canada se sont exprimées au cours des années 60 et 70 pour exiger du gouvernement fédéral des services et des changements constitutionnels afin d'assurer leur survie. Ils ont demandé des ressources pour se développer suite à une très longue période d'assimilation linguistique.

ACF était là pour dénoncer les pertes encaissées par une anglicisation débridée des communautés francophones et pour mettre l'accent sur la contribution des francophones devant les instances publiques telle que : la Commission royale d’enquête sur le bilinguisme et le biculturalisme, le ministère de l’Éducation de la Saskatchewan et devant la Cour suprême du Canada.

Le rôle de l’ACF a longtemps été de réclamer des services en français de la part de nos institutions publiques. À cause de cette pression constante et influence politique, les Fransaskois et les Fransaskoises ont accès à des services importants nous permettant de continuer à vivre en français. C’est ce genre d’influence qui fait qu’aujourd’hui le Canada est un pays bilingue et que la majorité des Canadiens et des Canadiennes reconnaissent la dualité linguistique et le caractère linguistique de l'identité canadienne.

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